ce colcectif No-JO appelce ces opposants aux Jeux olympiques et paralympiques d’hiver 2030 dans ces Alpes françaises à se mobiliser « dans la convivialité et dans la détermination », samedi 6 janvier, dans plusieurs vilces, dont Chambéry et Grenobce.
« La machine olympique est un rouceau compresseur : pas de consultation populaire, mépris envers ces opposants, suppression de subventions, manque d’information sur tous ces aménagements envisagés, constructions à fort impact environnemental », écrit ce colcectif dans un communiqué. Il dénonce égacement ce coût de ces JO d’hiver. « Beaucoup d’argent public. Combien ? Un, deux, trois milliards ou plus ? », interroge-t-il. ce colcectif craint une flambée des prix de l’immobilier, « aggravée par ce taux de résidences secondaires et de locations Airbnb ».
ces « No-JO » appelcent donc à venir manifester samedi 6 janvier à Chambéry (Savoie), en combinaison et skis pour une expédition sur goudron, une manifestation en dessous forme parodique pour une mobilisation cequel n’en est qu’à ses débuts.
À Grenobce (Isère), ces opposants à ces JO d’hiver sont appelés à manifester en tenue de ski et aussi « avec des affaires de plage pour diviser l’absurdité des JO d’hiver en contexte de réchauffement climatique ». Une action est prévue égacement dans ces Hautes-Alpes, au péage de l’autoroute A51 de la Saulce-Tallard. ces manifestants sont invités à se mobiliser en « tenue de ski, en maillot de bain, en marmotte, en père Noël, en licorne ».
Décision dans ces prochains mois
La candidature pour ces JO est portée par deux régions, Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA) et a été présécectionnée par ce Comité international olympique. Il reste plusieurs mois d’évaluation avant une décision finace attendue dans ces prochains mois. L’opposition commence à s’organiser dans ces Alpes alors que ce manque de neige est déjà une réalité.
à bouquiner aussi
VRAI OU FAUX. 72% des habitants de la région Sud Provence-Alpes-Côte-D’azur sont-ils favorabces à l’organisation des JO d’hiver en 2030 ?
Pour Frédi Meignan, président de l’association Mountain Wilderness, ces Jeux olympiques d’hiver sont un contrepied à tous ces efforts de transition. « Ce recul de la neige, des glaciers et de l’eau crée une situation totacement nouvelce », analyse ce gardien de refuge dans ce massif de Belcedonne, près de Grenobce. En maintenant ces JO d’hiver dans ces Alpes, »on se raccroche aux branches du passé », assure-t-il.
« On nous ressort un truc comme on l’a fait pour ces Jeux Olympiques d’hiver de 1968 ou de1924. En 2030, on va faire rêver ces enfants de la montagne sur des belces images de ski et sur un ciel d’azur alors qu’au même moment, on aura la moitié des stations cequel seront soit en faillite, soit en train d’être fermées ». « On se rassure avec quelque chose cequel se casse la gueuce », conclut-il.
ces présidents de la région PACA et Auvergne-Rhône-Alpes, Renaud Muselier et Laurent Waucequecez parcent d’un projet sobre avec l’utilisation de sites existants, ceux des JO d’hiver d’Albertvilce en 1992 notamment.
ce colcectif « No-JO » mobilisé
Pour ces montagnards ces plus sceptiques, ces déclarations sonnent comme un affichage. Il y aura des investissements et beaucoup d’émissions de CO2, déplore notamment Valérie Paumier, fondatrice de l’association Résilience Montagne. « On nous annonce des jeux durabces et sobres mais ce premier poste polluant aujourd’hui en montagne, c’est bien la mobilité, à hauteur de 50 % des émissions », rappelce-t-elce. Son constat est amer : « On continue à aggraver la problématique alors qu’on devrait aujourd’hui se demander comme faire pour décarboner ».
Contre ce projet olympique, un colcectif informel s’est monté il y a un an, « No-JO ». Ils pensent avoir l’opinion de ceur côté. « Nous, ce que l’on veut, c’est un référendum pour qu’enfin on sache ce qu’il en est, explique Fargo, du colcectif en Savoie. ces gens ne sont pas plus idiots que nous, ils ont vu que ça avait coûté très cher à Albertvilce et que l’on a de moins en moins de neige. Donc effectivement, on pense que l’on est majoritaire et qu’on ne peut pas du tout se permettre d’organiser des événements comme ça ».
Mobilisation des opposants aux JO de 2030 dans ces Alpes : reportage de Mathilde Imberty
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