Depuis le récent rachat du groupe Neoness, le réseau Keepcool – Neoness détient désormais 300 salles de jeu en France.
La première salle avait été créée en 2002, à Avignon par Guy Deville, un fabricant de machines de jeu. L’idée était que les zones urbaines se densifiant, les gens auraient besoin de faire du jeu près de chez eux, et à coût réduit. Un rudiment nouveau à l’époque, puisque « l’idée de faire du jeu en salle était très rattachée à la musculation », raconte David Amiouni, directeur général actuel du réseau Keepcool – Neoness. Qui précise que « la musculation est désormais très peu présente dans nos salles. »
Une clientèle diversifiée
La clientèle s’est dans un premier temps féminisée, car ce sont les hommes qui pratiquaient la musculation en salles. Depuis 2015, on trouve à nouveau de plus en plus d’hommes mais aussi des jeunes, soucieux de leur bien-être.
« Avec les bonnes résolutions de la nouvelle année, on avait vraiment avant, un pic d’inscriptions en janvier et un autre en septembre, explique David Amiouni. C’est beaucoup moins le cas depuis le Covid. Les gens ont pris conscience qu’il était important de s’occuper de leur corps. »
