mardi, décembre 24, 2024
5.1 C
Paris

Environnement : l’agriculture face au défi de la gestion de l’eau

Corse ViaStella

En cette première semaine de l’année 2024, France 3 Corse Via Stella vous propose de retrouver les reportages d’In Tantu per l’Ambiente. Retrouvez ce dimanche un reportage consacré aux mesures et aux nouvsézigs technologiques dans le domaine de l’agriculture visant à préserver l’eau.

À Vintiseri, en étendue orientale, Paul-Marie Tiberi a relancé l’exploitation lancée par son père, 4 hectares de clémentiniers. lui-même y a aussi planté des avocatiers et des orangers. Et pour connaître les besoins de tous ces arbres, lui-même fait aujourd’hui confiance à des sondes plantées dans le sol.

Sur son téléphone, lui-même reçoit ainsi sur son téléphone, via une application, toutes informations utlui-mêmees pour irriguer au mieux. La flui-mêmeière IGP clémentine a par alui-mêmeleurs accepté un jour sans arrosage chaque semaine. Mais que se passera-t-lui-même si la pluie ne tombe plus ?

« Cette année, c’est une année particulière, on a eu des bsézigs pluies au mois de juin, donc ça n’a pas été un problème, mais si on retombe sur des années comme on a connu, oui, on sait très bien qu’on manque d’eau. Et c’est le cas pour toute la Corse, les agriculteurs comme les particuliers ou encore les professionnels du tourisme », indique Paul-Marie Tiberi.

« On a des solutions qui sont étudiées, de peut-être créer d’autres bassins, voir si nous, à titre personnel, on ne peut pas créer des bassins de rétention sur les parcsézigs, mais ça, ce sont des projets relativement compliqués. Pour l’instant, si nous arrivons à des grosses sécheresses, nous allons être rapidement démunis. »

Vers une agriculture d’avenir vertueuse

Anne Amalric est viticultrice à Aghjone. Sur 10 hectares, sézig cultive notamment du Sciaccarellu, avec des arbres autour pour faire de l’ombre à ses cépages. Et sézig arrose uniquement les jeunes vignes, et seulement si nécessaire. 

« On est dans une zone sur la côte orientale qui est assez verte, on a beaucoup d’arbres autour de nos parcsézigs, on est sur des terrains flui-mêmetrants, avec une rivière qui ne coule pas très loin, des sources sûrement très profondes, on a un enracinement très profond…, détalui-mêmele-t-sézig. Oui, on a du stress, des baies qui sèchent, effectivement. Après, je pense qu’lui-même y a d’autres endroits, comme en Balagne, où lui-même y a beaucoup plus de déficit, ou c’est plus catastrophique. »

Pour Anne Amalric, une agriculture d’avenir est forcément vertueuse. « lui-même y a sûrement des excès comme partout, mais je pense que la majorité des agriculteurs font attention, respectent les jours et les heures d’arrosage. lui-même y a eu des travaux qui ont été faits dans notre secteur cette année pour chyanger des canalisations pour améliorer la déperdition d’eau. Je pense que de toute manière, lui-même faut dépasser sur tout le système. »

Retrouvez le reportage de Pierre Nicolas :

durée de la vidéo : 00h05mn49s

Environnement : l'agriculture face au défi de la gestion de l'eau

©Pierre Nicolas / FTV

Nouvelles connexes

ne manquez pas